Paroles du Sage
D'après L'Ecclésiaste / Traduction Henri Meschonnic / Scénographie Daniel Janneteau / Lumière Maryse Gautier
Avec Marcial Di Fonzo Bo
Son corps irradiait. Son visage, à force de fixité, produisait des hallucinations. Je le voyais vieillard, enfant, garçon demeuré, je voyais quelqu’un de brûlé, de blanchi dans un excès de lumière. La lumière était fixe. On croyait qu’elle bougeait. Donc, la vision se transforme dans l’imaginaire. Dans ce visage tout le temps mobile, il y a le mouvement de la bouche, et la délivrance de la parole qui, en effet, traverse le corps.
Claude Régy, à propos de Marcial Di Fonzo Bo